La plus grande menace à l’héritage de Steve Jobs : son Board !


The Greatest Threat to Steve Jobs’s Legacy – Michael Schrage – Harvard Business Review.

Article fascinant du Harvard Business Review qui établit un lien entre la disparition d’un leader à succès et le comportement du Board. Celui-ci doit rapidement gérer la crise causée par le départ du grand leader…

 

With thanks to Walter Isaacson, Steve Jobs got the last word on his remarkable life. But will Apple’s founder be as fortunate extending his enterprise legacy? Apple’s leadership — the Tim Cooks and Jonathan Ives — will step up to realize the vision of their late leader. But that’s this year and next. What about in three years? Or five?

The greatest threat to Steve Jobs’s legacy isn’t competition from Google, Amazon, Facebook, or some young hippie from Yangshuo; it’s his board of directors. Jobs himself feared this. « Hewlett and Packard built a great company, and they thought they had left it in good hands, » Jobs told Isaacson. « But now it’s being dismembered and destroyed. I hope I’ve left a stronger legacy so that will never happen at Apple. »

Les rémunérations des administrateurs de sociétés montent en flèche


Voici un article paru dans USA Today qui montre que les rémunérations des membres de Boards sont en fortes progressions. L’explication à ce constat semble être reliée au risque accru de siéger sur des conseils d’administration ainsi qu’à l’intensification de la tâche d’administrateur :

« It sounds like a lot of money for a part-time job, but there are some pretty full-time risks, » avance Jan Koors de la firme de rémunération Pearl Meyer & Partners.

‘Fortune’ 500 directors could get median pay of nearly $234,000 in 2011, up 10% from 2010’s median of $212,500, according to Towers Watson.

Surprise ! Le vote « Say-on-pay » n’est pas lié au rendement de l’entreprise


Très bon article, publié dans le Globe and Mail, qui montre que le résultat des votes consultatifs des actionnaires sur la rémunération globale des dirigeants n’est pas lié à la performance des entreprises. En effet, une étude du Hay Group tend à montrer que :

« Companies that had the highest level of voting support for their compensation plans this spring were not necessarily the top performers in their fields, while other companies with lower say-on-pay support had better performance in 2010, the review found ».

Quel est le pouvoir réel des actionnaires lors des assemblées annuelles ? Plusieurs observateurs croient que le système de votation est complètement déstructuré et que nous faisons fasse à une tâche colossale de révision (voir l’article de la Presse du 26 octobre).

Assemblées annuelles: des ratés dans le vote des actionnaires