Des procès-verbaux très questionnables : Un cas de conscience !


Voici un cas présenté par Julie Garland McLellan dans le cadre de sa chronique Director’s Dilemma publié sur son site. Ce cas porte sur une situation de procès-verbaux problématiques ! Qu’en pensez-vous ?

« Lenny recently joined the board of a government business enterprise. The government has been improving its board member selection processes and, this year, had a specific requirement that each board should have at least one director with a formal governance qualification. Having gained such a qualification Lenny was delighted that he was appointed to a large and politically sensitive board where all the other directors are far older and more experienced than he. He is concerned about the quality of the board minutes. They read like a transcript with verbatim remarks attributed to individuals. Some of the statements concern Ministerial or Departmental staff; they are quite possibly defamatory and of questionable relevance to the business. Lenny has raised the issue with the Chairman but been told that this is how minutes are done ‘in practice’ and that theoretical ideas won’t be trialled in his boardroom. The other board members don’t seem concerned but get restless when, at each meeting, Lenny goes through the minutes and requests numerous changes. The latest set of minutes is even more worrisome; it states that the board noted and reviewed several new policy statements that were not on the agenda and that Lenny has no copy of or recollection of discussing. He called the board secretary who informed him that this will save him and his board colleagues a lot of unnecessary reading and boring discussion of things they can’t do anything about. The secretary believes management have compliance well in hand so there is no need to worry.

What should Lenny do? »

Director’s Dilemma

If you would like to publish your advice on this topic in a global company directors’ newsletter please respond to the dilemma above with approximately 250 words of advice for Lenny. Back issues of the newsletter are available at http://www.mclellan.com.au/newsletter.html (see link below) where you can check out the format and quality.

Un rapide aperçu de certains codes de gouvernance asiatiques


Vous trouverez, ci-joint, un article publié par le « Board Director Training Institute of Japan » (BDTI), une organisation japonaise dont la mission est d’accroître la confiance entre les corporations et le public. L’objectif poursuivi par le BDTI est de favoriser le développement éthique des entreprises et de l’économie japonaise par la diffusion d’études sur la gouvernance et la mise en place de programmes de formation en gouvernance. L’article brosse un tableau sommaire des tendances en matière de gouvernance dans certains pays asiatiques.

A Look at Hong Kong’s Corporate Governance Code, Regarding « Director Training »

Since Singapore has just set forth amendments to its Corporate Governance Code that are impressively well-refined and substantial, we thought we would look at some other « Corporate Governance Codes » (CG Codes) in Asia from the « board training » perspective.

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions


L’Institut canadien des comptables agréés (ICCA) a produit des documents pratiques, pertinents, synthétiques et accessibles sur presque tous les sujets reliés à la gouvernance. En fait, l’ICCA a été un pionnier dans l’élaboration de publications répondant aux questions fondamentales que se posent les administrateurs sur l’ensemble des thèmes se rapportant à la gouvernance.

Toute formation en gouvernance des sociétés réfère à cette documentation de base. Ainsi, le Collège des administrateurs des sociétés (CAS) et son partenaire canadien, le Directors College (DC), puisent abondamment dans les ressources documentaires de l’ICCA dont tous les grands cabinets sont membres. Ceux-ci sont également de précieux collaborateurs des programmes de formation au Canada. Ces documents sont révisés régulièrement afin qu’ils demeurent actuels et pertinents.

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Vous trouverez ci-dessous une mise à jour de la collection de « 20 questions » à l’intention des administrateurs de sociétés. Si vous avez des questions dans le domaine de la gouvernance, vous y trouverez certainement des réponses satisfaisantes. Je vous encourage donc fortement à consulter ces publications. Vous pouvez les commander ou les télécharger.

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions

 

Quelles sont les croyances fondamentales d’un grand dirigeant ?


Excellent billet – partagé par Pierre Clasquin – qui met l’accent sur l’importance, pour un leader, d’avoir de solides valeurs de base et des croyances managériales fondamentales. À lire par tout gestionnaire.

« The best managers have a fundamentally different understanding of workplace, company, and team dynamics. See what they get right ».

Quelles sont les croyances fondamentales d’un grand dirigeant ? inc.com

Sept raisons pour manquer d’éthique


Voici un article publié par Kathy Noël dans Affaires sans frontières qui s’appuie sur les réflexions de l’éthicien René Villemure.

« Les entreprises peuvent-elles réussir et se déployer partout sur la planète en étant parfaitement éthique? On se le demande parfois, car plus rien dans ce monde n’est vraiment neutre. Il y aura toujours des opposants à un projet, quel qu’il soit, où qu’il soit. Cependant, pour l’éthicien René Villemure, président de l’Institut québécois d’éthique appliquée, les entreprises n’ont d’autres choix que de s’en préoccuper. Il en va de leur durabilité ».

«Les entreprises ne doivent plus seulement se demander si ce qu’elles font est légal, elles doivent se demander si c’est juste».

Sept raisons pour manquer d’éthique

Dix propositions cruciales pour renforcer la gouvernance


Voici un excellent résumé de 10 recommandations du Groupe des 30 qui visent à améliorer la gouvernance des sociétés à l’échelle mondiale. L’article a été publié dans le Financial News du 15 avril 2012 et partagé par Richard Leblanc dans son groupe Boards & Advisors. À lire absolument.

A report by the Group of 30 economic think tank has again turned the spotlight on corporate governance at financial institutions since the financial crisis. Financial News looks at 10 ways in which the industry needs to improve oversight at board level.

Emphasising the link between strong corporate governance and the economic stability both of individual firms and the wider global economy, the Group of 30, a non-profit body which researches international economic issues, laid out key measures that financial institutions should consider when crafting corporate governance policies.

The G30’s members include a mix of international economic leaders, including former President of the European Central Bank Jean-Claude Trichet and economist Paul Volker, former chairman of the US federal reserve. The report, published on Thursday, was put together by a working group that included Jacob Frenkel, chairman of JP Morgan Chase International, Zhou Xiaochuan, governor of the People’s Bank of China, and William McDonough, former vice-chairman of Bank of America Merrill Lynch. 

Financial News has distilled the 96-page report into 10 factors most important to strong governance at financial institutions.

Sheila Fraser, ex-auditeure générale du Canada se joint au Board de Bombardier


Excellent article de Sean Silcoff dans le Globe and Mail du 30 mars 2012. L’ex-auditeure générale du Canada, Sheila Fraser, est pressentie pour joindre le Board de Bombardier. Mme Fraser, qui possède une réputation irréprochable, viendra certainement ajouter une note d’intégrité à une entreprise qui en avait bien besoin.

Bombardier Inc. used to have one of the worst governance reputations in Corporate Canada. Now, it’s about to hold a very different distinction, as the only Canadian company with not one, but two former federal auditors-general on its board of directors.

 

In six weeks, Sheila Fraser, who retired as Auditor-General of Canada after 10 years last May, is expected to join the board of the transportation giant at its annual meeting, taking a seat near her friend and predecessor as Canada’s top federal watchdog, Denis Desautels. It will be her second corporate board, after she became a director last November of Manulife Financial Corp.

Dans une entrevue, Mme Fraser dit qu’elle entend jouer son rôle d’administratrice indépendante sans complaisance : “I’d like to think I can ask questions and be direct. If I have something I want to know, I’ll ask about it, and will work hard to understand the issues.”

SNC-Lavalin suspendue par la Banque mondiale – Problème de gouvernance ?


Le malheur s’acharne sur SNC-Lavalin. Lire les deux articles dans LesAffaires.com et dans le Globe and Mail.

À la suite d’une enquête lancée en septembre dernier, l’une des filiales de SNC-Lavalin (TSX: SNC) a reçu de la Banque mondiale un avis formel suspendant temporairement le droit de cette filiale de déposer des appels d’offres visant de nouveaux projets de la Banque mondiale.

SNC-Lavalin suspendue par la Banque mondiale

One of Canada’s global champions has just given itself a beating. Canadian officials often pointed to SNC-Lavalin’s business abroad as an example of this country’s trade inroads. It’s taking over the sale of CANDU nuclear equipment. Foreign Minister John Baird brought an SNC exec, Bruno Picard, to meet Libya’s new leaders last fall.

The board of Montreal-based SNC-Lavalin has reported two mysterious payments totalling $56-million. - The board of Montreal-based SNC-Lavalin has reported two mysterious payments totalling $56-million. | Ryan Remiorz/The Canadian Press

Les administrateurs de sociétés et le risque associé à une mauvaise réputation


Richard Joly, président de Leaders & Cie, nous offre le résultat de sa réflexion sur le risque réputationnel dans Les affaires.com
Une mauvaise réputation d’entreprise est ce qui effraie le plus les administrateurs, car ceux-ci ont mis toute leur carrière pour bâtir leur réputation et ils ne veulent surtout pas la perdre. La réputation est également l’actif le plus précieux d’une entreprise et c’est un risque important à maîtriser pour le conseil d’administration.

Une mauvaise réputation, c’est comme l’eau contaminée d’une maison. Plus personne ne la désire. Arthur Andersen est le plus bel exemple. Cette société internationale dans le domaine de la vérification comptable jouissait d’une réputation enviable avant que certains associés soient liés au scandale d’Enron. Dans l’espace de quelques mois, cette firme est disparue car leurs clients ne voulaient pas être associés à eux, pour cause de mauvaise réputation.

Les administrateurs de sociétés et le risque lié à une mauvaise réputation

SNC-Lavalin: Quelles leçons les conseils d’administration doivent-ils retenir ?


Excellente intervention de Diane Bérard sur le blogue Les Affaires.com. Dans ce billet, Mme Bérard pose plusieurs questions fort pertinentes à Richard Leblanc, expert en gouvernance à l’Université York. Et comme c’est son habitude, Richard Leblanc formule des réponses claires et précises. D’abord, Mme Bérard brosse un résumé de la situation :

« Pierre Duhaime, pdg de SNC-Lavalin, a démissionné.  Ce geste marque la conclusion du premier chapitre d’une saga qui dure depuis plusieurs semaines. Celle-ci a débuté avec des allégations de pots-de-vin en Libye pour un montant d’une trentaine de millions de dollars. Après enquête, on apprend que cette somme s’élèverait plutôt à  56 M$ et elle ne serait pas nécessairement reliée à la Libye.  Il s’agirait de fonds utilisés pour payer des “agents” à l’étranger. Cette somme aurait été soumise au chef de la direction financière ainsi qu’au président du conseil qui ne l’aurait pas autorisée. En dépit de cela, Pierre Duhaime aurait permis cette dépense. Je résume: une somme de 56M$, sans aucun lien apparent avec les projets de SNC, aurait été dépensée sans  autorisation. Et l’usage pour lequel celle-ci aurait été dépensée contreviendrait au code d’éthique de SNC ».

Lisez cet article pour connaître le point de vue de Richard Leblanc sur les questions suivantes :

SNC-Lavalin: cinq leçons pour les conseils

Q: Il doit y avoir beaucoup de gens nerveux aujourd’hui?

Q: Pourquoi s’en faire, SNC est canadienne et le Canada n’a pas de loi sur la corruption?

Q: “L’ incident SNC” aura-t-il des répercussions chez d’autres conseils de sociétés canadiennes?

Q:  Quelles leçons les conseils devraient-ils tirer de ce dérapage?

Comment le Board peut-il aider à prévenir la fraude dans les entreprises ?


Très bonne analyse de Richard Leblanc dans Canadian Business sur les moyens à prendre en vue de prévenir la fraude dans les entreprises. C’est de plus en plus une responsabilité du Board de s’assurer que les organisations mettent en place les bons mécanismes de surveillance.

Prévenir la fraude dans les organisations – Does Canada have a…

« The issue raises many questions, but among them are a couple I’m particularly interested in: do directors on boards play a role in detecting and deterring fraud, and can they be held responsible, or even liable, if they do not fulfill this role properly? Increasingly, the answer to both is yes, especially given new U.K. and U.S. legislation following the financial crisis.

A bank director once told me that the number one role of a director was to watch for fraud. That may be true. So here is a list of 10 red flags and suggestions based on my work with companies accused of fraud or other malfeasance—some were pretty high profile ».

Lire l’article pour connaître ces dix mises en garde.

Le système de gouvernance à BP : un exemple à suivre !


Voici une référence au site de BP qui décrit en détail le système de gouvernance en vigueur. La présentation du rapport est impeccable et le cadre conceptuel pourrait servir d’exemple à beaucoup d’organisations. Pourtant les difficultés rencontrées par l’entreprise ont été, et sont encore, énormes… Sans cet appareillage de gouvernance, l’entreprise aurait-elle pu affronter la crise du Golfe du Mexique ? Pas sûr !

Le système de gouvernance à BP

Il faut cependant ajouter qu’un bon système de gouvernance ne sera efficace que si la culture organisationnelle et le système de rémunération encouragent des comportement appropriés. BP a un excellent système de gouvernance, sur papier, mais il faut également que la direction et le C.A. aient un sens aigu de l’éthique pour « bien gouverner » (Tone at the Top). La culture a-t-elle évoluée depuis cette crise… Pas sûr non plus !

Mon propos n’est certainement pas de faire le procès de BP car je ne sais pas quelles sont les leçons que l’entreprise a tirées de cette catastrophe et de la gestion de la crise. Je référe à BP parce que je crois y retrouver un très bon exemple de cadre conceptuel en gouvernance. Mais, bien sûr, cela ne garantit absolument pas que l’organisation possède la culture requise pour se comporter en bon citoyen corporatif.

Les conclusions du rapport sur la crise du Golfe du Mexique présentées au Président Obama mentionnent justement ces éléments : “ The disaster can be attributed to an organizational culture and incentives that encourage cost cutting and cutting corners that rewarded workers for doing it faster and cheaper but not better”.  Food for thought.

Gouvernance des sociétés : de nombreux défis pour les conseils d’administration en 2012


Excellent article par Brendan Sheehan dans Boardmember.com qui présente les perspectives nouvelles qui s’offrent aux C.A. et aux hauts dirigeants des sociétés cotées en bourse en 2012. De nombreux défis attendent les administrateurs en réponse aux demandes pressantes de groupes d’actionnaires « activistes » , notamment  l’Institutional Shareholder Services (ISS). Je vous encourage à lire l’article au complet mais voici un court extrait :

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Gouvernance des sociétés : de nombreux défis pour les conseils d’administration en 2012

« The failure of prominent companies, ongoing scandals, and the stubbornly persistent financial crisis have dramatically changed the landscape for managements and directors at U.S. public companies and provided new vigor to activist shareholders and governance commentators. For boards of directors, keeping track of the latest reforms and ensuring the company is fully compliant has become an even more complicated puzzle.

Many of the post-Enron reforms have concentrated on enhancing transparency and boosting disclosure in proxy statements and other corporate filings. The end result is while shareholders have greater insight into the companies they own, they also now demand a louder voice in the way companies are being managed and directed, even down to who gets hired and how much they get paid. This, in turn, has led to what many observers have characterized as the pendulum swinging too far to one side, creating a need for balance.

In the meantime, with activists gaining broader access to corporate boards and with disclosure policies constantly expanding, directors and management are becoming increasingly more concerned about what shareholders think. This time of year, that interest manifests itself in trying to figure out what is going to happen during proxy season. How are people going to vote? What will be the hot-button issues? Where will the surprises come from?

As with most things, in order to predict the future it can be instructive to look at the past. An examination of recent voting results and proposal activity reveals that, despite all the talk about the shifting focus of activists, the same proposals that surface every year continue to dominate the voting agenda. Majority voting dominated the proposals, as it has in the last four or five years, followed by the repeal of classified board structure, rights to call special meetings, and rights to act by written consent. These four areas have been among the most prevalent proposal topics for many years, and companies generally understand how to address the surrounding issues. Compensation-related proposals were strongly featured as well, and are likely to be the main focus in 2012.

That being said, several new disclosure rules were enacted in late 2010 and during 2011 that, as investors have time to examine the disclosures and get comfortable with them, could spark an increase in activity. In short, most experts feel that investors will start to move away from simple issues like board structure and poison pills and engage with boards on more complicated—and possibly more important—risk- and performance-related issues ».

Gouvernance et éthique – Gilles Paquet


Voici le résumé de l’allocution d’ouverture prononcée par Gilles Paquet, professeur émérite à l’École de Gestion et Senior Research Fellow au Centre d’études en gouvernance de l’Université d’Ottawa, à l’occasion du Congrès annuel de l’Ordre des Administrateurs Agréés du Québec le 24 janvier 2012.

Gouvernance et éthique – Conférence de Gilles Paquet aux Adm.A. 

« Ma présentation s’est construite autour de quatre mots (contexte, gouvernance, stewardship et éthique) et d’une argumentation en deux temps, à l’effet que l’on ne peut pas comprendre l’éthique sans comprendre la gouvernance, et que l’on ne peut pas demander moins à un professionnel que le professionnalisme – c’est-à-dire un comportement éthique à la hauteur des attentes beaucoup plus grandes qu’on a d’un professionnel que d’un citoyen ordinaire.

De là l’importance de bien comprendre que l’Ordre doit développer le professionnalisme de ses membres, et ne pas s’enliser dans un corporatisme défenseur d’intérêts mesquins qui ne pourraient que détruire la légitimité et la valeur ajoutée de l’Ordre au plan social. »

Comment les médias sociaux inflencent-ils la gouvernance des sociétés ?


Voici un article publié dans la section Innovations du Washington Post qui montre l’influence grandissante des médias sociaux sur la gouvernance des entreprises. L’auteur met en évidence la relation entre une plus grande utilisation des médias sociaux et la tendance des entreprises à accoder plus d’importance aux questions de développement durable et de responsabilités sociales.

Social media is the new boardroom

While many of the world’s largest businesses are genuinely making their operations more socially responsible, and a growing number of political leaders are also getting on board, the banking and finance sector lags behind. The biggest risk posed to economic recovery is if that sector remains trapped in the old model that prioritizes irresponsible risk-taking to drive annual bonuses over genuine, long-term, sustainable profit and value-creation.

Wall Street should get on board because appealing to young people’s sense of social responsibility is also where competitive advantage lies. A 2010 report from Accenture found that the top 50 most sustainable companies (taken from a cross industry group of 275 companies from the Fortune Global 1,000) outperformed shareholder return of the bottom fifty by 16 percentage points over three years and by 38 percentage points over five years.

I believe the banking and finance sector will catch up. CSR has been taken out of the silo and put in the P&L statement thanks to the revolution in communications that has empowered ordinary people to sanction those who don’t behave the way they want them to. The most successful businesses of the next decade will be the most socially responsible. They will reap huge benefits from the power of social media, as employees, shareholders and consumers become passionate advocates for their brands and businesses. And the most talented young people will want to work for them.

 

Procès Nortel : Le Board est-il responsable ?


À lire, l’excellent article de Sophie Cousineau publé dans la Presse le 17 janvier 2012.

Le C.A. de Nortel est-il responsable de la débâcle et des fraudes ? Vous, en tant qu’administrateurs de sociétés, quel est votre point de vue sur la situation ?

Procès Nortel : Le Board est-il responsable ?

« Employées avec intelligence et modération, les mesures incitatives au rendement peuvent avoir une certaine utilité. Mais le conseil d’administration de Nortel a complètement travesti ces outils pour récompenser des dirigeants accros aux options qui cherchaient le profit rapide sans penser aux lendemains.

C’est le procès de ces administrateurs nonchalants qu’on devrait faire. Malheureusement ou heureusement, récompenser l’échec et la cupidité n’est pas une infraction au Code criminel ».

Conséquences négatives des « golden parachutes » pour les actionnaires


Excellent article de Alain Sherter dans CBS Money Watch qui montre les conséquences des « golden parachutes » sur l’avoir des actionnaires. L’article explique comment le concept a été perverti au fil des ans pour devenir quelque chose de standard … au détriment des actionnaires.
 

Conséquences négatives des « golden parachutes » pour les actionnaires cbsnews.com

A new report concludes that corporate chiefs who leave their companies with vast walk-away packages only hurt investors.

Une formation universitaire en gouvernance de sociétés : Indispensable !


L’article met en évidence l’importance pour les «Business Schools» d’offrir une formation en gouvernance de sociétés, une formation qui s’adresse à des membres de C.A. ou à des membres potentiels de C.A.

À ce jour, peu d’écoles de gestion offrent une formation qui prépare les participants à vivre les expériences de la gouvernance des entreprises, plus particulièrement en favorisant l’apprentissage expérientiel, les jeux de rôle et la simulation. Voir cet excellent article du FT.

Most corporate boards are failing. I’m not only referring to the spectacular failures at Olympus, Yahoo or BP; most boards are not adding the value they could to corporations because they are not being educated properly. It…

What’s at the core of corporate wrongdoing ? Leaders, Culture, Ethics….


Selon Dennis Levine, dans un article paru dans Fortune le 29 décembre 2011, la culture organisationnelle est au coeur des problèmes de malversation. Que doit faire un membre de C.A. pour se sensibiliser à celle-ci ?

To believe that the people who commit fraud are different from us might make us feel safe. But real safety comes from building an organization that stops these acts before they can take place. Dennis Levine, who lectured an NYU MBA ethics class as part of his community service many years ago, described the mentality that led to his insider trading conviction as a mentality of having to win the next game, competing with oneself for the next victory, where enough was never enough.

His explanation is applicable to both individuals and entire corporate cultures, such as MF Global and Olympus, where losses were allegedly buried from public view on purpose.

But Levine’s explanation doesn’t address why enough is never enough. What underlies the motivations to hide losses? And why does it often take a very rude awakening for a person (or a company) to change?

Le besoin de professionnalisation des conseillers en rémunération


Selon cet article publié dans Canadian Business, les conseillers en rémunération se placent souvent en situation de conflits d’intérêt en fournissant des services professionnels, simultanément, pour le Board et le management. L’auteur insiste sur un plus grand professionnalisme de la part de ces consultants.