La bonne gouvernance est associée au rendement selon une étude | Le Temps.ch


Aujourd’hui, je partage avec vous un article publié dans le magazine suisse Le Temps.ch qui présente les résultats d’une recherche sur la bonne gouvernance des caisses de retraite en lien avec les recommandations des fonds de placement tels que BlackRock.

L’auteur, Emmanuel Garessus, montre que même si le lien entre la performance des sociétés et la bonne gouvernance semble bien établi, les caisses de retraite faisant l’objet de la recherche ont des indices de gouvernance assez dissemblables. L’étude montre que les caisses ayant des indices de gouvernance faibles ont des rendements plus modestes en comparaison avec les indices de référence retenus.

Également, il ressort de cette étude que c’était surtout la prédominance de la gestion des risques qui était associée à la performance des caisses de retraite.

Comme le dit Christian Ehmann, spécialisé dans la sélection de fonds de placement auprès de Safra Sarasin, « la gouvernance n’est pas une cause de surperformance, mais il existe un lien direct entre les deux ».

Encore une fois, il appert que BlackRock défend les petits épargnants-investisseurs en proposant des normes de gouvernance uniformisées s’appliquant au monde des entreprises cotées en bourses.

J’ai reproduit l’article en français ci-dessous afin que vous puissiez bien saisir l’objet de l’étude et ses conclusions.

Bonne lecture ! Vos commentaires sont les bienvenus.

 

BlackRock contre Facebook, un combat de géants

 

 

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Le principe de gouvernance selon lequel une action donne droit à une voix en assemblée générale est bafoué par de très nombreuses sociétés, surtout technologiques, au premier rang desquelles on trouve Facebook, Snap, Dropbox et Google. BlackRock, le plus grand groupe de fonds de placement du monde, demande aux autorités d’intervenir et de présenter des standards minimaux, indique le Financial Times.

Le groupe dont Philipp Hildebrand est vice-président préfère un appel à l’Etat plutôt que de laisser les fournisseurs d’indices (MSCI, Dow Jones, etc.) modifier la composition des indices en y intégrant divers critères d’exclusion. Barbara Novick, vice-présidente de BlackRock, a envoyé une lettre à Baer Pettit, président de MSCI, afin de l’informer de son désir de mettre de l’ordre dans les structures de capital des sociétés cotées.

 

Mark Zuckerberg détient 60% des droits de vote

 

De nombreuses sociétés ont deux catégories d’actions donnant droit à un nombre distinct de droits de vote. Les titres Facebook de la classe B ont par exemple dix fois plus de droits de vote que ceux de la classe A. Mark Zuckerberg, grâce à ses actions de classe B (dont il détient 75% du total), est assuré d’avoir 60% des droits de vote du groupe. A la suite du dernier scandale lié à Cambridge Analytica, le fondateur du réseau social ne court donc aucun risque d’être mis à la porte, explique Business Insider. L’intervention de BlackRock n’empêche pas l’un de ses fonds (Global Allocation Fund) d’avoir probablement accumulé des titres Facebook après sa correction de mars, selon Reuters, pour l’intégrer dans ses dix principales positions.

Cette structure du capital répartie en plusieurs catégories d’actions permet à un groupe d’actionnaires, généralement les fondateurs, de contrôler la société avec un minimum d’actions. Les titres ayant moins ou pas de droit de vote augmentent de valeur si la société se développe bien, mais leurs détenteurs ont moins de poids en assemblée générale. Les sociétés qui disposent d’une double catégorie de titres la justifient par le besoin de se soustraire aux réactions à court terme du marché boursier et de rester ainsi concentrés sur les objectifs à long terme. Ce sont souvent des sociétés technologiques.

Facebook respecte très imparfaitement les principes de bonne conduite en matière de gouvernance. Mark Zuckerberg, 33 ans, est en effet à la fois président du conseil d’administration et président de la direction générale. Ce n’est pas optimal puisque, en tant que président, il se contrôle lui-même. Sa rémunération est également inhabituelle. Sur les 8,9 millions de dollars de rémunération, 83% sont liés à ses frais de sécurité et le reste presque entièrement à l’utilisation d’un avion privé (son salaire est de 1 dollar et son bonus nul).

 

Quand BlackRock défend le petit épargnant

 

Le site de prévoyance IPE indique que le fonds de pension suédois AP7, l’un des plus grands actionnaires du réseau social, est parvenu l’an dernier à empêcher l’émission d’une troisième catégorie de titres Facebook. Cette dernière classe d’actions n’aurait offert aucun droit de vote. Une telle décision, si elle avait été menée à bien, aurait coûté 10 milliards de dollars à AP7. Finalement Facebook a renoncé.

BlackRock prend la défense du petit investisseur. Il est leader de la gestion indicielle et des ETF et ses produits restent investis à long terme dans tous les titres composant un indice. Il préfère influer sur la gouvernance par ses prises de position que de vendre le titre. Le plus grand groupe de fonds de placement du monde demande aux autorités de réglementation d’établir des standards de gouvernance en collaboration avec les sociétés de bourse plutôt que de s’en remettre aux fournisseurs d’indices comme MSCI.

La création de plusieurs classes d’actions peut être justifiée par des start-up en forte croissance dont les fondateurs ne veulent pas diluer leur pouvoir. BlackRock reconnaît ce besoin spécifique aux start-up en forte croissance, mais le gérant estime que «ce n’est acceptable que durant une phase transitoire. Ce n’est pas une situation durable.»

Le géant des fonds de placement aimerait que les producteurs d’indices soutiennent sa démarche et créent des «indices alternatifs» afin d’accroître la transparence et de réduire l’exposition aux sociétés avec plusieurs catégories de titres. L’initiative de BlackRock est également appuyée par George Dallas, responsable auprès du puissant International Corporate Governance Network (ICGN).

La gouvernance des «bonnes caisses de pension»

 

La recherche économique a largement démontré l’impact positif d’une bonne gouvernance sur la performance d’une entreprise. Mais presque tout reste à faire en matière de fonds de placement et de caisses de pension.

«La gouvernance n’est pas une cause de surperformance, mais il existe un lien direct entre les deux. Les caisses de pension qui appartiennent au meilleur quart en termes de bonne gouvernance présentent une surperformance de 1% par année par rapport au moins bon quart», explique Christian Ehmann, spécialisé dans la sélection de fonds de placement auprès de Safra Sarasin, lors d’une présentation organisée par la CFA Society Switzerland, à Zurich.

Ce dernier est avec le professeur Manuel Ammann coauteur d’une étude sur la gouvernance et la performance au sein des caisses de pension suisses (Is Governance Related to Investment Performance and Asset Allocation?, Université de Saint-Gall, 2016). «Le travail sur cette étude m’a amené à porter une attention particulière à la gouvernance des fonds de placement dans mon travail quotidien», déclare Christian Ehmann. Son regard porte notamment sur la structure de l’équipe de gestion, son organisation et son système de gestion des risques. «Je m’intéresse par exemple à la politique de l’équipe de gérants en cas de catastrophe», indique-t-il.

Claire surperformance

 

L’étude réalisée sur 139 caisses de pension suisses, représentant 43% des actifs gérés, consiste à noter objectivement la qualité de la gouvernance et à définir le lien avec la performance de gestion. L’analyse détaille les questions de gouvernance en fonction de six catégories, de la gestion du risque à la transparence des informations en passant par le système d’incitations, l’objectif et la stratégie d’investissement ainsi que les processus de placement. Sur un maximum de 60 points, la moyenne a été de 21 (plus bas de 10 et plus haut de 50). La dispersion est donc très forte entre les caisses de pension. Certaines institutions de prévoyance ne disposent par exemple d’aucun système de gestion du risque.

Les auteurs ont mesuré la performance sur trois ans (2010 à 2012), le rendement relatif par rapport à l’indice de référence et l’écart de rendement par rapport au rendement sans risque (ratio de Sharpe). Toutes ces mesures confirment le lien positif entre la gouvernance et la performance (gain de 2,7 points de base par point de gouvernance). Les moteurs de surperformance proviennent clairement de la gestion du risque et du critère portant sur les objectifs et la stratégie d’investissement. Les auteurs constatent aussi que même les meilleurs, en termes de gouvernance, sous-performent leur indice de référence.

La deuxième étape de la recherche portait sur l’existence ou non d’une relation entre le degré de gouvernance et l’allocation des actifs. Ce lien n’a pas pu être établi.

Points saillants eu égard aux rémunérations des hauts dirigeants en 2016 | The Conference Board


Quels ont été les développements eu égard aux rémunérations de la haute direction des sociétés publiques américaines en 2016 ?

C’est le sujet de l’article publié par Matteo Tonello, directeur exécutif du Conference Board.

Chaque année, l’organisation publie un état de la situation de la rémunération des grands patrons des sociétés américaines.

L’étude, rendue publique récemment, vient de paraître dans le Harvard Law School Forum ; on y présente les changements majeurs dans les politiques de rémunération et l’on y dresse un portrait complet des pratiques de rémunération supervisées par les conseils d’administration.

C’est un compte rendu incontournable pour tous les membres de comités des ressources humaines.

Bonne lecture !

 

CEO and Executive Compensation Practices: 2016 Edition

 

The report has been designed to reflect the changing landscape of executive compensation and its disclosure. In addition to benchmarks on individual elements of compensation packages and the evolving features of short-term and long-term incentive plans (STIs and LTIs), the report provides details on shareholder advisory votes on executive compensation (say-on-pay) and outlines the major practices on board oversight of compensation design.

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Compensation data is examined and segmented by business industry and company size (measured in terms of annual revenue). For the purpose of the industry analysis, the report aggregates companies within 10 industry groups, using the applicable Global Industry Classification Standard (GICS) codes. In addition, to highlight differences between small and large companies, findings in the Russell 3000 Index are compared with those from the S&P 500 Index. The S&P 500, or subset of the S&P 500, is also used to further investigate certain compensation practices, such as changes in pension value, perquisites, and incentive plans. Figures and illustrations used throughout the report refer to the Russell 3000 analysis unless otherwise specified.

 

Key Findings from the study

 

Several highest paid CEOs have made the top-25 list for years; shareholder return is rarely the performance goal driving their compensation.

In the last few years, companies have been responding to public scrutiny over pay-for-performance and made significant adjustments to their compensation policies—curbing base salaries and annual bonuses, introducing retention requirements on equity awards, and shifting from single metric to blended-metric incentive plans. And yet The Conference Board found that pay and performance alignment, at least where performance is measured in terms of total shareholder return (TSR), continues to elude some industries’ chief executives; their top-level compensation is due to performance metrics other than TSR. For example, at asset management public company GAMCO, Mario Gabelli receives fees related to the total assets that his investment company manages, not only the returns generated by those invested assets. At media companies Viacom and CBS, the performance targets of choice are operating income and free cash flow, both for annual and long-term incentives; moreover, the compensation required to retain a CEO is inevitably distorted by the generous compensation offered by those companies to the artists and other media talent needed to appeal to wide audiences. Therefore, at least for these individuals, an analysis of TSR performance is only going to tell some of the story.

CEOs of smaller companies benefited from the highest total pay growth in 2015, but the compensation gap between them and their colleagues in the S&P 500 remains wide.

Excluding the effects of pensions, the increase in median total compensation for CEOs in the S&P 500 was 2.9 percent, contributing to a six-year rise (from 2010) of 22.25 percent. The equivalent figures for the Russell 3000 were 4.2 percent and 54.7 percent respectively. In fact, in the smallest company bracket by revenue, under US$100 million, the increase in median total pay was 37 percent, just between 2014 and 2015 levels. In contrast, the CEOs of the largest companies (US$50 billion and over) received a rise in median pay of 10.8 percent, while smaller organizations saw their median compensation shrink even when excluding the effects of pensions.

Smaller increases in total CEO compensation documented for some industries (including energy, utilities, and telecommunication services) reflect the lackluster performance caused by the slump in commodity prices, new regulatory restraints, and market saturation.

According to the business sector analysis, and again excluding the effect of pension change, CEOs in telecommunications, utilities, industrials, and energy saw median total compensation fall. For energy firm CEOS, the decrease was as large as 17.7 percent. In contrast, CEOs of companies in the consumer discretionary (such as entertainment and travel), consumer staples, and health care sectors all experienced double digit increases, with the highest going to consumer staples CEOs at 28 percent. On the other hand, no industry reported a negative six-year change, with health care CEOs experiencing median growth in total compensation between 2010 and 2015 of 94 percent, from US$1,817,000 to US$3,525,000.

As companies continue to strive to achieve pay-for-performance, a rise in the value of stock awards drives the bulk of total CEO compensation increases.

Stock awards have taken up the slack of virtually every other component of pay. S&P 500 CEOs receive 47 percent of their total pay in the form of stock awards, up from a third in 2010, while in the Russell 3000 it has risen from less than a quarter of total pay to more than a third. More specifically, in 2015 the value of stock awards grew by over 23 percent at the median for CEOs in the Russell 3000, and by 13.7 percent for CEOs in the S&P 500. Over the last six years, the growth in the value of median stock awards for the Russell 3000 has been impressive at 291.4 percent (and as high as 358.3 percent for small companies with asset values between US$500 and US$999 million). In the first quarter of 2015, when decisions about most stock awards are made, awarded stocks in both the S&P 500 and the Russell 3000 were higher than at the beginning of 2014. It remains to be seen whether the volatility that these equity indices registered in 2015 will curb the rise of stock award value in 2016.

With an inflation rate of less than one percent for both 2014 and 2015, market pressure and the looming application of the new SEC pay ratio rules explain the moderate rises in CEO base salary.

Compared to 2015, base salary rose four and 4.7 percent for CEOs in the S&P 500 and the Russell 3000, respectively. Double-digit total compensation increases for CEOs of consumer staples companies were not caused by any increase in base salary, since median salary fell by two percent in that industry. The base salary of energy CEOs showed no increase at all at the median. But for most others, base salary rose by between two percent (utilities and materials) and 6.8 percent (information technology (IT)). Similar disparities can be found when companies are broken down by revenue and asset size. CEOs at the largest companies saw either no increase in median salary or, in the case of companies with annual revenue between US$25 and US$49.9 billion, a decline in median salary by 8 percent. In contrast, CEOs of companies with annual revenue of less than US$100 million reported median salary increase of 9.4 percent, compared to a 7.5 percent increase for companies with asset values of US$500 million or less.

Stock options have been losing importance as a compensation incentive in large companies, where scrutiny on share value manipulation and other unintended behavioral effects has been felt the most.

However, when smaller organizations are analyzed, the move away from stock options is not as significant as is commonly claimed. Options as a percent of total CEO pay fell from around 18 percent to 15 percent in the S&P 500. In contrast, CEOs in the Russell 3000 have been steadily receiving around 15 percent of their pay in stock options in each of the last six years, with little or no change in the percentage.

Pension value changes and the increase in non-qualified deferred compensation (NQDC) have fallen back to normal levels following the absorption of the major actuarial valuation adjustments that occurred in 2014.

In the S&P 500, for example, the amount went from less than three percent of pay in 2013 to almost eight percent in 2014, before halving to four percent in 2015. Given the lack of involvement of boards and compensation committees in such volatility, it is hardly surprising that most surveys are careful to give figures that both exclude and include this element of pay. Across industries and company size groups, the change in pension value and NQDC was negative, both between 2014 and 2015 and over the entire six-year period.

The gain in strength of the US dollar has slowed the operational performance of many multinational companies, causing a sharp year-on-year decrease in the median annual bonuses granted to CEOs in both the Russell 3000 and the S&P 500.

In fact, in the S&P 500, median 2015 bonuses are lower than they were six years ago (when they stood close to US$2 million), though similar in level to the median bonus awarded in 2012 and 2011 (around US$1,850,000). As with other compensation elements, median bonuses for CEOs of the smallest companies reverse the general trend. Median bonuses for CEOs of companies with annual revenue of less than US$100 million increased by three percent; for companies with asset values of less than US$500 million, this increase was seven percent. In contrast, CEOs of companies with an asset value of more than US$100 billion saw median bonus value fall by almost a fifth.

In 2015, for the first time in years, the annual growth in percentage points of total NEO compensation exceeded that of CEOs—a sign that companies may be concerned about talent retention at the top in a tightening job market.

While growth of compensation for NEOs exceeded that of CEOs between 2014 and 2015, growth for NEO compensation in the long-term lags that of CEOs. NEO pay rose between 2010–2015 (32 percent and 15.8 percent in the Russell 3000 and S&P 500 respectively), but CEO pay rose more over this period (55 percent and 22 percent for each index). The latest year of slower pay growth may also reflect concerns that differentials are widening too far between CEOs and NEOs. In 2015, median total compensation for NEOs (other than the CEO) was US$1,439,000 in the Russell 3000 and US$3,563,000 in the S&P 500.

The increasing attention paid by investors and other stakeholders to sustainability and long-termism is prompting companies to add non-financial targets to their incentive plans, which seldom still rely on a single metric of performance.

The number of performance measures included in an incentive plan has steadily increased over the past five years, expanding to a series of qualitative aspects of firm performance—ranging from customer satisfaction to the implementation of safety standards and from employee turnover rates to environmental impact measures. When non-financial measures are included in the target count, more than a quarter of firms use more than six performance metrics in their STI plans. Excluding them brings that proportion down to one percent. Without non-financial measures, a third of companies have between two and three metrics for their annual plans. The volume of companies using only a single metric continues to shrink quite rapidly; in STIs, it is down from 16 percent to 14 percent from 2014 to 2015, up from almost a third of the examined 2010 sample. For LTIs, companies using a single metric dropped from 41 percent in 2010 to 19 percent in 2015.

Say-on-pay analysis confirms a significant turnover in failed votes, with several companies losing the confidence of their shareholders this year after winning the vote by a wide margin in 2014.

In the Russell 3000, only 27 of the executive compensation plans put to a say-on-pay vote in the first half of 2016 failed to receive the support of a majority of shareholders. This compares with 52 and 51 percent of companies with failed votes during the same period in 2015 and 2014, respectively. Two companies that reported failed votes in 2016 had also missed a majority support level in 2015: Masimo Corp and Tutor Perini Corporation. (There were eight of these cases in 2015.) Tutor Perini Corporation is the only company in the Russell 3000 that has failed all six years of say-on-pay advisory votes. Nabors Industries Ltd. had four consecutive failed votes as of 2014, received 65.3 percent of for votes at its 2015 annual general meeting (AGM), and then failed the advisory vote again in 2016 (with a mere 36 percent of votes cast in favor of the compensation plan proposed by management).

Recommandations concernant les politiques de gouvernance à respecter en matière de votation | UK


 

 

L’Association Pensions and Lifetime Savings du Royaume-Uni (UK) vient de produire son document de recommandations concernant les politiques de gouvernance à respecter en matière de votation.

Ce document fait état des meilleures pratiques contemporaines de gouvernance. Le but recherché est de promouvoir le succès à long terme des compagnies dans lesquelles les membres de l’association investissent, et de s’assurer que le conseil et la direction des entreprises concernées sont redevables envers les actionnaires.

Le document (PDF), dont il est question ici, présente un résumé très complet des principes de gouvernance à respecter, notamment en rappelant les principes de gouvernance du code UK et en présentant différentes recommandations eu égard au leadership, à l’efficacité, à l’imputabilité, à la rémunération et aux relations avec les actionnaires. Le document présente ensuite un ensemble de résolutions concernant les recommandations de votation.

Je vous invite à prendre connaissance de ce document de 46 pages. De plus, le document indique les coordonnées des sites Internet les plus pertinents* :

Corporate Governance Policy and Voting Guidelines

 

 

Corporate governance is about ensuring that appropriate structures and individuals are in place in order to enable effective, entrepreneurial and prudent management, in turn delivering sustainable business success. It is not a matter of box ticking or compliance; indeed a compliance mind-set can undermine good corporate governance.

As articulated within the 2014 UK Corporate Governance Code (the « Code »), corporate governance is in essence about « what the board of a company does and how it sets the values of the company ». An effective board is therefore crucial and should be composed of a diverse grouping of directors each of whom is committed to contributing to the governance and long-term success of the company.

Truly effective corporate governance is reliant upon a company’s willingness to engage with the spirit of the Code rather than simply about compliance with its Principles. In parallel it is equally important that investors play their part and take their responsibilities seriously, monitoring, engaging with and ultimately holding accountable those individuals whom they have elected to the board.

Assessments of corporate governance should be formed through the lens of directors’ duties as set out in the Companies Act 2006. To restate, these include, in particular, the duty to promote the success of the company, while having regard to, amongst other things, the likely consequences of any decision in the long term; the interests of its employees; its need to foster the business relationships with customers and suppliers; the impact of its operations on the communities and environment and its desire to maintain a reputation for high standards of business conduct. As such a proactive and effective board should provide the framework for discussing, managing and driving the long-term sustainability of the company.

Boards should endeavour actively to consider how the company’s strategy, governance arrangements, performance and prospects, in the context of its external environment, lead to the creation of value in the short, medium and ultimately long term.

Building a sustainable business model should be central to the business strategy. We expect boards to explain to shareholders how they approach overseeing and managing the risks to their sustainability. In turn shareholders may well form judgments on the management of these issues which will inform their understanding of the effectiveness of the board oversight and so guide their approach to resolutions at the AGM.

Pensions-Tax-800x500_cThe Pensions and Lifetime Savings Association’s Corporate Governance Policy & Voting Guidelines endeavour to build on the above context while remaining firmly rooted in the provisions of the Code and the underlying principles of all good corporate governance, namely, accountability, alignment, transparency and integrity.

The Guidelines aim to assist investors and their proxy voting agents in their interpretation of the provisions of the Code and in forming judgements on the resolutions presented to shareholders at a company’s AGM. While it is particularly focussed on what voting sanctions may be applied at a company meeting, a decision to vote against management should only be taken after proper consideration of the company’s explanation for non-compliance, in the light of the particular circumstances at that company and ideally after engagement.

The Association recognises that the success of the Code relies to a large part upon investors acknowledging and assuming their own stewardship responsibilities. To that end, we are firm supporters of the Stewardship Code and the mind-set that underlies it – in particular that companies with engaged shareholders will perform better over the long run.

We recognise the important role that investors play in making sure that companies genuinely feel there to be scope for explanations as well as compliance with the strictures of the Code. Where the views of boards and their shareholders differ on matters of corporate governance, it is to be hoped that constructive discussion will follow, albeit that ultimately shareholders will exercise their rights as owners to do what they see as necessary to protect their interests.

We encourage companies to make efforts to identify their long-term investors – those investing with long-term objectives rather than those involved in short-term trading – to enable regular and strategic dialogue with a critical mass of engaged investors. Equally, it is important that investors are open to engagement on the full range of substantive matters. – 5 –

The Association for its part will continue to facilitate active engagement between issuers and pension fund investors in order to discuss substantive matters of concern or company-specific issues. Among other steps, we look to initiate a proactive set of engagement dialogues for our members with relevant companies where we believe long-term value may be at stake.

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*Coordonnées des sites Internet les plus pertinents :

Recommandations en matières de politiques de gouvernance | L’approche de Glass Lewis pour 2015


Voici un document très complet sur les avis de Glass Lewis pour 2015. On y aborde les plus importantes recommandations concernant la gouvernance des organisations : l’élection des administrateurs, la déclassification, la durée des mandats, les limites d’âge, l’accès aux documents de votation, le vote majoritaire pour l’élection.

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Également, on émet des recommandations sur l’approbation des auditeurs, les questions de fonds de pension, le Say-on-Pay, les arrangements de « Golden parachute », les plans de rémunération des hauts dirigeants et des administrateurs, les plans d’achat d’actions par les employés, les questions fiscales, les mesures de protection contre les offres d’achat non-sollicitées, la structure de votation, les exigences de la divulgation d’informations, l’actionnariat activiste, etc.

Guidelines en matière de politique de gouvernance | L’approche et les recommandations  de Glass Lewis pour 2015

 

C’est l’un des documents les plus explicites en matière de politique de gouvernance. La firme de conseil Glass Lewis y présente son approche et ses recommandations eues égard au vote des actionnaires en 2015.

À lire !

Formations spécialisées en gouvernance | Collège des administrateurs de sociétés (CAS)


Le Collège des administrateurs de sociétés (CAS) de l’Université Laval offrira, en mai prochain, trois formations spécialisées de haut niveau :

(1) Gouvernance des services financiers

(2) Gouvernance des régimes de retraite

(3) Gouvernance des PME

Sur une formule de deux jours intensifs, chaque formation est animée par des experts chevronnés et est adaptée aux besoins des administrateurs, cadres et dirigeants. Les trois formations se tiendront à Montréal, au Centre de conférences Le 1000.

Montréal - la tour IBM et le 1000 de La Gauche...

Gouvernance des services financiers

La formation Gouvernance des services financiers aura lieu les 6 et 7 mai 2014. Elle est destinée aux administrateurs, cadres et hauts dirigeants du secteur des services financiers qui œuvrent dans le domaine bancaire, les assurances, les valeurs mobilières et les organismes d’encadrement légal et corporatif. Cette formation vise à favoriser la mise en place de saines pratiques de gouvernance afin de préserver la confiance du grand public, des consommateurs et des investisseurs. Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des services financiers

Gouvernance des régimes de retraite

La formation Gouvernance des régimes de retraite aura lieu les 13 et 14 mai 2014. Elle s’adresse aux membres de comités de retraite, aux administrateurs et gestionnaires de fonds de régime de retraite. Cette formation vise à améliorer les connaissances et compétences en gouvernance, à préciser les rôles et responsabilités qui incombent aux administrateurs et gestionnaires d’un régime de retraite, puis à développer un sens critique pour un meilleur processus décisionnel. Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des régimes de retraite

Gouvernance des PME

La formation Gouvernance des PME aura lieu les 27 et 28 mai 2014. Elle est destinée aux chefs d’entreprise, hauts dirigeants, investisseurs et administrateurs appelés à siéger sur les conseils d’administration ou comités consultatifs de PME. Cette formation propose de réfléchir aux pratiques de gouvernance les mieux adaptées et les plus efficaces pour l’entreprise de type PME et permet de revoir les grandes orientations et identifier des moyens concrets pour en optimiser la gouvernance. Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des PME

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Ces formations comptent pour un crédit de 15 heures de formation continue requise pour les détenteurs du titre IAS.A. de l’Institut des administrateurs de sociétés ainsi que les ASC du Collège des administrateurs de sociétés. De plus, elles sont reconnues par les ordres et organismes professionnels suivants : Association des MBA du Québec, Barreau du Québec, Chambre de la sécurité financière, Institut québécois des planificateurs financiers, Ordre des ADMA du Québec, Ordre des CPA du Québec, Ordre des CRHA.

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* À propos du CAS

Créé en 2005 grâce à un partenariat entre l’Autorité des marchés financiers, la Caisse de dépôt et placement du Québec, le ministère du Conseil exécutif du Québec et la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, le Collège des administrateurs de sociétés se positionne comme leader de la formation des administrateurs et représente le seul programme de certification universitaire en gouvernance de sociétés au Québec. Il contribue au développement et à la promotion de la bonne gouvernance de sociétés en offrant des formations reconnues et à la fine pointe des meilleures pratiques. À ce jour, le CAS a diplômé 624 ASC. Il est possible de consulter leur profil en visitant le www.BanqueAdministrateurs.com.

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Les déficits des caisses de retraite | Un défi de taille pour les C.A.


La responsabilité du conseil d’administration en matière de supervision des politiques générales des fonds de pension de leur entreprise devient de plus en plus importante et demande davantage de temps et d’expertise de la part des membres du conseil.

Voici un article de Barbara Shecter paru dans le Financial Post du 20 août 2013 qui décrit une situation qui préoccupe de plus en plus les banques d’investissement et les investisseurs institutionnels.

J’ai reproduit, ci-après, un extrait qui donne les grandes lignes de cet article. Bonne lecture.

Growing pension liabilities are forcing some company executives and boards to spend an increasing amount of time and energy managing their obligations to future retirees — potentially at the expense of the actual business.

As a result, the issue of managing pension risk has moved onto the agenda in discussions with investment bankers, who have traditionally focused on allocating capital to things such as debt repayments, dividends and acquisitions.

The explanation for this trend, according to those in the banking and advisory business, is that pension obligations have become an “outsized” issue for many companies. Historically low interest rates combined with choppy and unpredictable equity markets have made funding future pension obligations more challenging.

Seasoned investment bankers say discussions about how to manage these obligations, including potentially paying now to get the risk of future pension obligations off a company’s books, flow naturally out of conversations about how to manage capital.

Pension liabilities an ‘outsized’ issue soaking up more corporate time and energy

Torstar Corp. is one of the companies around which analysts have begun to discuss pension funding when they talk about other corporate issues affecting stock price. Above, President and CEO David Holland addresses shareholders during the company's annual general meeting in Toronto in 2010.

Colin O’Connor for National PostTorstar Corp. is one of the companies around which analysts have begun to discuss pension funding when they talk about other corporate issues affecting stock price. Above, President and CEO David Holland addresses shareholders during the company’s annual general meeting in Toronto in 2010.

“When we talk with clients about how best to use capital to boost their company’s share price or valuation, we’ve traditionally focused on debt repayments, share repurchases, dividend increases, special dividends or acquisitions,” says Don Fox, managing director and head of the financial institutions investment banking at CIBC World Markets. “Over the past couple of years, however, there has been interest from some clients in allocating capital to pension obligations,” he says.

The awareness of potential challenges arising from pension obligations has spread and is no longer confined to the rarified air of pension consultancies, equity analysts have noted, and that means investors are becoming aware of how their investments could be affected.

Torstar Corp. is one of the companies around which analysts have begun to discuss pension funding when they talk about other corporate issues affecting stock price.

La formation d’administrateurs de sociétés (ASC) du Collège des administrateurs de sociétés (CAS)


Le Collège des administrateurs de sociétés (CAS) est né de la volonté de quatre partenaires fondateurs d’offrir aux administrateurs de sociétés une formation unique et de haut niveau, axée sur les meilleures pratiques de gouvernance. Depuis sa création en mars 2005, le Collège a admis plus de 1000 administrateurs dans ses différentes formations.

Collège des administrateurs de sociétés | CAS

Excellence | Éthique | Ouverture | Engagement

Le Collège contribue au développement et à la promotion de la bonne gouvernance en offrant aux administrateurs de sociétés une formation de la plus haute qualité dans un environnement dynamique de partage du savoir et une source d’information privilégiée à la fine pointe des meilleures pratiques.

Le Collège des administrateurs de sociétés, c’est :

Un centre de formation à l’avant-garde des plus hauts standards de gouvernance répondant aux multiples besoins des administrateurs, tant à Québec, qu’à Montréal ;

Une équipe d’intervenants-formateurs, reconnus pour leur expertise, leur ouverture et leur passion ;

Des administrateurs provenant de tous milieux: des sociétés publiques, privées, d’État, municipales ou parapubliques, des coopératives, des associations, des OBNL, etc. ;

Un programme de certification universitaire en gouvernance unique au Québec menant à la désignation Administrateur de sociétés certifié (ASC) et jouissant d’une reconnaissance pancanadienne grâce à une entente avec le Directors College de l’Université McMaster ;

Une base de données en ligne présentant 600 profils d’administrateurs de sociétés certifiés ;

Une expérience enrichissante permettant aux administrateurs de développer un réseau de contacts privilégié.

Perfectionnez vos compétences en gouvernance

Ce qui fait la renommée du Collège des administrateurs de sociétés est sans aucun doute l’ouverture et l’innovation dont il s’est inspiré pour établir une offre de formations unique, recherchée et adaptée aux besoins des administrateurs de sociétés.

Des formations diversifiées

La certification universitaire en gouvernance de sociétés comprend cinq (5) modules d’une durée de trois (3) jours chacun et son cheminement peut varier entre douze et dix-huit mois

Gouvernance des régimes de retraite (Durée : 2 jours)

Gouvernance des services financiers (Durée : 2 jours)

Gouvernance des PME (Durée : 2 jours)

Les formations d’une durée de trois jours de même que les modules du programme de certification universitaire en gouvernance de sociétés ont lieu les jeudi, vendredi et samedi.

Une approche stimulante pour un perfectionnement optimisé

Quelle que soit votre provenance, votre cheminement professionnel ou votre secteur d’activité, les formations du Collège vous permettent de bénéficier :

D’une expérience Québec-Montréal vous permettant de côtoyer, d’échanger et de développer un réseau de contact avec des gestionnaires et des administrateurs de différents secteurs et milieux d’affaires ;

D’un environnement valorisant les échanges entre les participants et les intervenants ;

D’un programme de certification universitaire sous la responsabilité d’un directeur de programme et d’une équipe de professeurs de l’Université Laval et d’intervenants de renom de la pratique privée.

Reconnaissance professionnelle

Des ententes de partenariat avec plusieurs ordres et organismes professionnels reconnaissent la valeur des formations du Collège.

Le CAS et le Cercle des ASC | Des agents de changement qui facilitent l’atteinte des objectifs de la « Table des partenaires influents »


Cette semaine, nous avons demandé à Louise Champoux-Paillé, C.Q., F.Adm.A., ASC, MBA, Présidente du Cercle des administrateurs de sociétés certifiés, d’agir à titre d’auteur invité sur le blogue. Louise montre comment les initiatives québécoises en matière de promotion de la diversité au sein des sociétés peuvent être facilitées par des agents de changements qui ont des expertises confirmées en gouvernance des sociétés. Il en est ainsi du Collège des administrateurs de sociétés (CAS) et du Cercle des administrateurs de sociétés certifiés (ASC).

La mission du CAS est de contribuer au développement et à la promotion de la bonne gouvernance en offrant aux administrateurs de sociétés une formation de la plus haute qualité dans un environnement dynamique de partage du savoir, et une source d’information privilégiée à la fine pointe des meilleures pratiques.

World Economic Forum visits New York Stock Exc...
World Economic Forum visits New York Stock Exchange to mark International Women’s Day 2012 (Photo credit: World Economic Forum)

La mission du Cercle est de promouvoir la désignation Administrateur de sociétés certifié (ASC) auprès des entreprises publiques et privées, des organismes publics et parapublics et des OBNL, ainsi que favoriser la nomination de ses membres à des conseils d’administration.

L’article identifie certaines réalisations remarquables eu égard à la présence des femmes sur des conseils d’administration au Québec. Voici donc l’article en question, reproduit ici avec la permission de l’auteure. Vos commentaires sont appréciés. Bonne lecture.

Le Collège et le Cercle : Des agents de changement pour atteindre les objectifs de la Table des partenaires influents

Par Louise Champoux-Paillé

Le 19 avril dernier,  les membres de la Table des partenaires influents, co-présidée par Madame Monique Jérôme-Forget et M. Guy St-Pierre dévoilaient leur stratégie d’action visant à accroître la présence des femmes au sein des conseils d’administration. Celle-ci comportait notamment la proposition que les sociétés cotées en Bourse, ayant leur siège social au Québec, prennent des engagements fermes afin de favoriser une meilleure représentation des femmes dans leur organisation. La Table propose les cibles suivantes : 20 % de représentation d’ici cinq ans (2018), 30 % d’ici dix ans (2023) et 40 % d’ici quinze ans (2028).

Les circonstances ont voulu que je sois appelée par Jacques Grisé à compléter, au cours de la même semaine, un bilan de situation pour la Conférence Européenne des associations d’administrateurs (EcoDa) en regard des actions canadiennes (mais surtout québécoises) pour la promotion de la diversité et de la présence des femmes au sein des conseils d’administration.

De manière générale, les principaux Collèges et associations membres de ce regroupement (Belgique, France, Finlande) ajoutent à leurs activités de formation en gouvernance, des initiatives de mentorat pour stimuler l’atteinte d’une présence féminine accrue. Le Collège des administrateurs de sociétés et le Cercle des administrateurs de sociétés certifiés se comparent avantageusement à leurs homologues internationaux en ayant développé divers partenariats et ententes avec des regroupements du milieu afin d’organiser des activités de mentorat mais également des activités de sensibilisation, d’initiation à la gouvernance et d’encouragement de la relève pour les postes de direction au sein des entreprises québécoises, soit les femmes qui siégeront éventuellement à ces conseils d’administration. Vous trouverez, ci-dessous, un compte rendu des principales initiatives canadiennes et québécoises telles qu’elles ont été présentées dans le cadre de l’exercice de « benchmark » de EcoDa.

Cet engagement contribue sûrement à ce que les femmes constituent aujourd’hui 40 % des titulaires du titre d’Administrateur de sociétés certifié (ASC) et que les nominations à des postes des conseils d’administration aient été, au cours des deux dernières années, également réparties entre les deux genres. Notons qu’au cours des deux dernières années, il y a eu 153 nominations d’administrateurs de sociétés certifiés (ASC) au sein des organisations publiques et privées.

La promotion d’une meilleure représentation féminine au sein des instances décisionnelles requiert un engagement de la part des entreprises mais également et surtout un travail constant de terrain pour accroître le vivier actuel et futur de femmes qui permettront d’atteindre les objectifs fixés par la Table des partenaires influents. Un défi de taille que nous poursuivrons avec vigueur.

Louise Champoux-Paillé, C.Q., F.Adm.A., ASC, MBA

Présidente du Cercle des administrateurs de sociétés certifiés

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Initiatives to promote diversity in boardrooms on the part of CAS | Perspectives canadiennes et québécoises

Mentoring :

No quota for enrollment in our program (CAS). However, around 40% of our graduates are women. Intensive works with business community in order to promote women for enrollment in our program and create mentoring and networking activities. In Canada, only Québec has legislated gender parity for the boards of its Crown Corporations. The target was met on December 2011. A private Canadian Senator member’s bill was tabled in 2011 to create a mandatory rule requiring boards to have at least 40 % women or men within 6 years of the legislation. The proposed legislation never won the support of the Conservative government. Recently, both Québec and Canadian Government create advisory committees composed of proeminent business people to promote women on corporate boards.

Best practices/Recommendations :

The Canadian regulators encourage diversity of experiences, competencies, genders and origins on boards. A best practice recommended is to use a background and experience matrix to balance all the needs of the organization.

Networks :

Women’s well established associations see to create activities of networking-mentoring-sponsorship and conceive directories to promote women on  boards.

Other initiatives :

Shareholders proposals (MÉDAC mainly) for gender parity. In response, one bank, the National Bank of Canada, adopted in 2009 an orientation to have women nominees for half of all directorships that become vacant. Up to now, the objective was met.

Corporate Governance Model :

A mix of shareholder and stakeholder model. Main features : board members are elected by the shareholders; majority of directors are independent from the direction; Chair of the Board must preferably be independent; members of the audit committee members must be independents.

Nomination Process :

The authorities highly recommend that the members of the governance and nominating committee be independent. Usually, the nominating committee recommends as much candidates as there are seats to be filled. The nominating committee must disclose what steps are taken to identify new candidates for board nomination.

Average Board Structure :

Over the years, there has been a noticeable shift toward smaller boards. Average board size is actually 11 for big listed Canadian companies. A significant majority (85%) of companies separate the roles of board chair and CEO. International directors comprised about 22 % of all directorships in the listed companies, which translated to an average of 2 international directors per board. For the big companies, only 17 % of all directors are women. Generally, there are more boards with three or more women and fewer all-male boards. A big change in board composition for leading Canadian companies : the vast majority have three or more directors with relevant industry experience, compared to just over 10% in 1997.

Régime de retraite pour les PME : les bons arguments


Voici un article paru ce matin dans le magazine Avantages qui fait ressortir plusieurs bons arguments en faveur de l’instauration d’un régime de retraite pour les PME*.

Régime de retraite pour les PME : les bons arguments

Plusieurs dirigeants de PME se montrent encore hésitants avant d’instaurer un régime de retraite pour leurs employés. Parmi les meilleurs arguments pour les convaincre, on peut mettre de l’avant le coût avantageux par rapport à une hausse de salaire, ainsi que le pouvoir d’attraction que cela représente pour des employés de qualité.

Une nouvelle activité offerte par la RRQ, « Les régimes de retraite pour les PME : Problématiques et solutions », met en valeur quelques-uns de ces arguments. La conférence était présentée le 9 avril dernier dans le cadre d’une journée de formation pour les conseillers organisée par la CSF – section de Laval.

« En raison de la rareté de la main-d’œuvre et de la concurrence provenant des grandes entreprises, le salaire et l’assurance collective ne sont plus des éléments suffisants pour attirer les bons employés dans les PME », a rappelé la conférencière Michèle Frenette, présidente de GRMF inc.

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*Deux formations en gouvernance pour deux secteurs spécialisés

Le Collège des administrateurs de sociétés offrira, en mai prochain, deux formations spécialisées, sur une formule de deux jours intensifs, adaptées aux besoins des administrateurs et hauts gestionnaires de ces deux secteurs spécialisés.

Gouvernance des PME

La formation aura lieu les 8 et 9 mai 2013, à Québec. Les chefs d’entreprise, hauts dirigeants, investisseurs et administrateurs appelés à siéger sur les conseils d’administration ou comités consultatifs de PME sont invités à participer à cette formation haut de gamme visant à réfléchir aux pratiques de gouvernance les mieux adaptées et les plus efficaces pour ce type d’entreprise.

Gouvernance des régimes de retraite

La formation aura lieu les 15 et 16 mai 2013, à Montréal. Elle s’adresse aux administrateurs, mandataires et gestionnaires de régimes de retraite à cotisations ou prestations déterminées.

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La formation en gouvernance doit aussi être adaptée aux secteurs spécialisés


Vous trouverez ci-dessous un communiqué du Collège des administrateurs de sociétés (CAS) qui présente trois formations en gouvernance pour trois secteurs spécialisés lesquelles seront offertes en mai prochain.

Le CAS dispense une certification universitaire en gouvernance de sociétés depuis plus de sept ans; cependant plusieurs diplômés ainsi que plusieurs administrateurs et hauts dirigeants souhaitent se spécialiser en approfondissant la gouvernance dans les domaines suivants : (1) Gouvernance des services financiers, (2) Gouvernance des PME et (3) Gouvernance des régimes de retraite.

Sur une formule de deux jours intensifs, ces formations en gouvernance sont adaptées aux besoins des administrateurs et hauts gestionnaires de ces trois secteurs spécialisés.

Gouvernance des services financiers

La formation Gouvernance des services financiers aura lieu les 7 et 8 mai  2013, à Montréal. Elle est destinée aux administrateurs, hauts dirigeants et cadres du secteur des services financiers qui oeuvrent dans le domaine bancaire, les assurances, les valeurs mobilières et les organismes d’encadrement légal et corporatif. Cette formation vise à favoriser la mise en place de saines pratiques de gouvernance afin d’assurer l’efficacité, la transparence, l’intégrité, la stabilité et la crédibilité du secteur des services financiers et de préserver ainsi la confiance du grand public, des consommateurs et des investisseurs.

Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des services financiers.

The Price Building, in the old city of Quebec ...
The Price Building, in the old city of Quebec City. The building is the head office of the Caisse de dépôt et placement du Québec and the official residence of the Premier of Québec (Photo credit: Wikipedia)

Gouvernance des PME

La formation Gouvernance des PME aura lieu les 8 et 9 mai 2013, à Québec. Les chefs d’entreprise, hauts dirigeants, investisseurs et administrateurs appelés à siéger sur les conseils d’administration ou comités consultatifs de PME sont invités à participer à cette formation haut de gamme visant à réfléchir aux pratiques de gouvernance les mieux adaptées et les plus efficaces pour ce type d’entreprise. En compagnie de formateurs de renom et de gens témoignant de leurs expériences, il s’agit d’un moment privilégié pour revoir ses grandes orientations et identifier des moyens concrets pour optimiser sa gouvernance d’entreprise, dans une ambiance conviviale.

Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des PME.

Gouvernance des régimes de retraite

La formation Gouvernance des régimes de retraite aura lieu les 15 et 16 mai 2013, à Montréal. Elle s’adresse aux administrateurs, mandataires et gestionnaires de régimes de retraite à cotisation ou prestations déterminées. Cette formation vise à améliorer les connaissances et compétences en gouvernance, à préciser les rôles et responsabilités qui incombent aux administrateurs et gestionnaires d’un régime de retraite, puis à développer un sens critique pour un meilleur processus décisionnel.

Pour connaître les détails de la formation Gouvernance des régimes de retraite.

Sept ordres et organismes professionnels reconnaissent la valeur de ces formations du Collège des administrateurs de sociétés dans le cadre de la formation continue de leurs membres pour une valeur de 15 heures. En savoir plus.

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À propos du CAS

Créé en 2005 par l’Autorité des marchés financiers, la Caisse de dépôt et placement du Québec, la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval et le ministère du Conseil exécutif du Québec, le Collège des administrateurs de sociétés offre le seul programme de certification universitaire en gouvernance de sociétés au Québec. Il contribue au développement et à la promotion de la bonne gouvernance et offre aux administrateurs de sociétés une formation de la plus haute qualité, un environnement dynamique de partage du savoir et une source d’informations privilégiée à la fine pointe des meilleures pratiques. À ce jour, le CAS a diplômé 542 ASC. Pour information : www.cas.ulaval.ca.

Devenez « auteur invité » sur le blogue Gouvernance | Jacques Grisé


Devenez blogueur invité

Aimeriez-vous agir à titre d’auteur invité (“Invited guess”) sur mon Blogue en gouvernance des sociétés ? Avez-vous un article déjà écrit ou souhaitez-vous m’aider en contribuant à l’écriture d’un court billet en gouvernance de sociétés ? Chaque jour, je publie un billet qui porte sur un sujet d’actualité récente en gouvernance; si vous êtes intéressés à ajouter de la valeur à ce blogue, vous êtes invités à me soumettre un article original portant sur un des multiples objets de la gouvernance des sociétés privées, publiques, OBNL, coopératives, PME, sociétés d’État, etc.

BLOG IDEAS
BLOG IDEAS (Photo credit: owenwbrown)

Que retrouve-t-on dans ce blogue et quels en sont les objectifs ?

Ce blogue fait l’inventaire des documents les plus pertinents et récents en gouvernance des entreprises. La sélection des billets, « posts », est le résultat d’une veille assidue des articles de revue, des blogues et sites web dans le domaine de la gouvernance, des publications scientifiques et professionnelles, des études et autres rapports portant sur la gouvernance des sociétés, au Canada et dans d’autres pays, notamment aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Europe, et en Australie. Chaque jour, je fais un choix parmi l’ensemble des publications récentes et pertinentes et je commente brièvement la publication. L’objectif de ce blogue est d’être la référence en matière de documentation en gouvernance dans le monde francophone, en fournissant au lecteur une mine de renseignements récents (les billets quotidiens) ainsi qu’un outil de recherche simple et facile à utiliser pour répertorier les publications en fonction des catégories les plus pertinentes.

Quelques statistiques à propos du blogue Gouvernance | Jacques Grisé

Ce blogue a débuté le 15 juillet 2011. Depuis ce temps, sur une base quotidienne, j’ai oeuvré à la publication d’environ 550 billets. Le blogue a progressé de manière tout à fait remarquable et, au 12 février 2013 , il est fréquenté par plus de 3 800 visiteurs par mois. En février 2013, j’estime qu’environ 150 personnes par jour visiteront le blogue afin de s’informer sur diverses questions de gouvernance. À ce rythme, on peut penser que plus de 50 000 personnes visiteront le site du blogue en 2013.

Quels sont les avantages à publier un billet sur ce blogue ?

  1. L’occasion de publier sur le blogue en gouvernance le plus fréquenté au Québec ainsi que sur l’un des plus réputés dans le monde francophone et au canada anglais;
  2. La possibilité d’ajouter votre Bio en incluant deux liens URL ainsi que des liens pertinents dans le texte publié;
  3. Le partage du billet sur plusieurs réseaux sociaux ainsi que dans plusieurs groupes de discussion professionnels sur LinkedIn;
  4. La possibilité d’obtenir de la rétroaction et des commentaires de la part des lecteurs.

Directives simples

  1. Un texte d’environ 500 mots sur un sujet d’actualité en gouvernance;
  2. Les liens publicitaires ne sont pas autorisés;
  3. L’article doit être original et basé sur une opinion ou une recherche documentée.

Comment procéder ?

La procédure est très simple et rapide. J’ai besoin de vos coordonnées, du sujet du billet ainsi que d’une brève description de votre texte de 500 mots. Je vous répondrai dans les heures qui suivent. Après entente sur la pertinence de la publication, je vous demanderai de me soumettre le texte complet dans les deux prochaines semaines . Si le texte soumis est susceptible d’apporter un éclairage inédit sur la gouvernance, je vous reviendrai avec un feedback et la planification de la publication. Vous pouvez aussi choisir une image qui illustre bien le propos du billet.

Article relié :

Les billets en gouvernance les plus populaires de 2012 | NACD (jacquesgrisegouvernance.com)

Comment se préparer à accueillir la main-d’oeuvre de la prochaine décennie ?


Ci-dessous, un article paru dans HBR sous la plume de Ron Ashkenas, associé de la firme Schaffer Consulting, qui explique clairement les effets des retraites des boomers au cours des 20 prochaines années. À quels changements du monde des affaires devons-nous nous attendre ?

Get Ready for the New WorkforceP1020141

« I recently heard a stunning statistic: For the next 19 years, 10,000 people per day will turn 65 years old, and (presumably) retire shortly thereafter. While this graying of the Boomer generation certainly has implications for health care and social policy (and for me personally, as one of those eventual retirees), it may have even more significance for the nature of the workforce and the job of the manager.

First, there will be a shortage of workers for key jobs. This may sound hard to believe at a time when U.S. unemployment hovers around 8% and parts of Europe have 25% of their people out of work. Yet as millions of boomers leave the workforce, there are far fewer younger people to replace them. In the trucking industry alone, for example, it’s estimated that there will be a shortage of over 100,000 drivers in just a few years. Moreover, the replacements will have far less experience and know-how, and will need considerable training to get up-to-speed. This will lead to significant gaps in areas such as engineering, petrol-chemicals, utilities, defense manufacturing, education, healthcare, and air traffic control ».

  1. 7 Tips for People Planning to Retire in 2013 (dailyfinance.com)
  2. Daily Baby Boomer News Update: January 2, 2013 (babyboomers.com)
  3. Aging Boomers May be a Great Market (asourparentsage.net)

Banque des administrateurs de sociétés certifiés (ASC) | Ententes de reconnaissance – Collège des administrateurs de sociétés (CAS)


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La Banque des administrateurs de sociétés certifiés (ASC) est un outil de recherche en ligne au www.BanqueAdministrateurs.com mis au point par le Collège des administrateurs de sociétés (CAS) afin de faciliter le recrutement d’administrateurs pour votre conseil d’administration. Regroupant plus de 505 profils de compétences d’administrateurs de sociétés certifiés, la Banque des ASC vous permet d’accéder à un bassin de professionnels d’expérience ayant complété une formation universitaire en gouvernance. L’outil de recherche en ligne vous permet de préciser votre recherche en fonction de vos besoins spécifiques en termes d’expertise et d’expérience sectorielle pour obtenir une liste de candidats potentiels pour votre C.A.

 

Entente d’équivalence avec le programme du Directors College (DC)

Au terme de la réussite des cinq modules et de l’examen final du programme de certification en gouvernance de sociétés, l’Université Laval décerne aux participants la Certification universitaire en gouvernance de sociétés ainsi que la désignation Administrateur de sociétés certifié (ASC), désignation reconnue à l’échelle nationale grâce à une entente avec l’Université McMaster et le Conference Board du Canada, cofondateurs du Directors College (DC). Cette entente reconnaît l’équivalence de leur programme de certification universitaire en gouvernance et de leur désignation respective. Ainsi, elle permet aux Administrateurs de sociétés certifiés (ASC) du Collège des administrateurs de sociétés et aux Chartered Directors (C.Dir.) du Directors College d’obtenir la désignation et la reconnaissance universitaire de l’autre programme sans complément d’étude ou examen supplémentaire.
 
En septembre 2010, l’IFA sollicitait l’expertise du CAS afin d’offrir un programme de certification en gouvernance de haut niveau aux administrateurs de sociétés françaises. Pendant plus d’un an, le Collège et l’Institut ont travaillé de concert afin d’arriver à proposer un cursus de formation équivalent qui serait reconnu par les deux organisations. Au terme de la réussite des cinq modules et de l’examen final du programme de certification en gouvernance de sociétés, l’Université Laval décerne aux participants la Certification universitaire en gouvernance de sociétés, ainsi que la désignation Administrateur de sociétés certifié (ASC), désignation reconnue également en France grâce à une entente avec l’Institut Français des Administrateurs (IFA). L’ensemble des diplômés des programmes de certification en gouvernance du Collège des administrateurs de sociétés et de l’Institut Français des Administrateurs détiennent une reconnaissance équivalente et peuvent utiliser la même désignation d’administrateur de sociétés certifié (ASC), tant au Québec qu’en France.
 
 

Institut Français des Administrateurs (IFA)

Bulletin d’information du Collège des administrateurs (CAS) – Septembre 2012


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Le bulletin d’information de septembre 2012 du Collège des administrateurs de sociétés vient d’être publié. Bonne lecture.

Bulletin du Collège des administrateurs de sociétés (CAS) | Septembre 2012

C’est avec fierté que le Collège des administrateurs de sociétés vous présente son rapport d’activité 2011-2012, une rétrospective complète de la septième année d’existence du CAS, de ses réalisations et faits saillants. Le bilan de cette année est sans contredit très positif et marque, entre autres, l’atteinte du cap impressionnant des 500 diplômés du programme de certification universitaire en gouvernance de sociétés.

Rapport d'activité 2011-2012

Rapport d’activité  du CAS 2011-2012

Réforme majeure de la rémunération des dirigeants au Royaume-Uni


Le Department for Business, Innovation and Skills (UK) a récemment rendu public un projet de réforme visant à renforcer la gouvernance et les droits des actionnaires.

English: Corporate Governance
English: Corporate Governance (Photo credit: Wikipedia)

Government announces far-reaching reform of directors’ pay

The Business Secretary, Vince Cable today announced the most comprehensive reforms of the framework for directors’ remuneration in a decade. This package of measures will address failures in corporate governance by empowering shareholders to engage effectively with companies on pay. It will:

· Give shareholders binding votes on pay policy and exit payments, so they can hold companies to account and prevent rewards for failure;

· Boost transparency so that what people are paid is easily understood and the link between pay and performance is clearly drawn; and

· Ensure that reform has a lasting impact by empowering business and investors to maintain recent activism.

Directors’ pay: guide to Government reforms

Over the past decade, directors’ pay in the UK’s largest listed companies has quadrupled with no clear link to company performance.

« In the way we pay ourselves…now is the time to be more transparent, more responsible and more accountable. High pay must be for exceptional performance, not mere attendance. »

 

Documentation de l’ICCA en gouvernance des sociétés publiques, privées et OBNL


L’Institut canadien des comptables agréés (ICCA) a produit des documents pratiques, pertinents, synthétiques et accessibles sur presque tous les sujets reliés à la gouvernance. En fait, l’ICCA a été un pionnier dans l’élaboration de publications répondant aux questions fondamentales que se posent les administrateurs sur l’ensemble des thèmes se rapportant à la gouvernance.

Toute formation en gouvernance des sociétés réfère à cette documentation de base. Ainsi, le Collège des administrateurs des sociétés (CAS) et son partenaire canadien, le Directors College (DC), puisent abondamment dans les ressources documentaires de l’ICCA dont tous les grands cabinets sont membres. Ceux-ci sont également de précieux collaborateurs des programmes de formation au Canada. Ces documents sont révisés régulièrement afin qu’ils demeurent actuels et pertinents.

Participez au sondage !

 

boutiqueCA

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions

Vous trouverez ci-dessous une mise à jour de la collection de « 20 questions » à l’intention des administrateurs de sociétés. Si vous avez des questions dans le domaine de la gouvernance, vous y trouverez certainement des réponses satisfaisantes. Je vous encourage donc fortement à consulter ces publications. Vous pouvez les commander ou les télécharger.

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions


L’Institut canadien des comptables agréés (ICCA) a produit des documents pratiques, pertinents, synthétiques et accessibles sur presque tous les sujets reliés à la gouvernance. En fait, l’ICCA a été un pionnier dans l’élaboration de publications répondant aux questions fondamentales que se posent les administrateurs sur l’ensemble des thèmes se rapportant à la gouvernance.

Toute formation en gouvernance des sociétés réfère à cette documentation de base. Ainsi, le Collège des administrateurs des sociétés (CAS) et son partenaire canadien, le Directors College (DC), puisent abondamment dans les ressources documentaires de l’ICCA dont tous les grands cabinets sont membres. Ceux-ci sont également de précieux collaborateurs des programmes de formation au Canada. Ces documents sont révisés régulièrement afin qu’ils demeurent actuels et pertinents.

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Vous trouverez ci-dessous une mise à jour de la collection de « 20 questions » à l’intention des administrateurs de sociétés. Si vous avez des questions dans le domaine de la gouvernance, vous y trouverez certainement des réponses satisfaisantes. Je vous encourage donc fortement à consulter ces publications. Vous pouvez les commander ou les télécharger.

Documentation en gouvernance de l’ICCA : collection de 20 questions

 

Bientôt 500 administrateurs de sociétés certifiés par le Collège des administrateurs de sociétés


Le 14 avril dernier, la 23e cohorte du Collège, composée de 20 participants, achevait le programme de certification universitaire en gouvernance de sociétés. La prochaine étape pour ces 20 finissants consistera à passer l’examen final qui leur permettra d’obtenir la désignation d’Administrateur de sociétés certifié (ASC), désignation réservée uniquement aux diplômés du Collège et reconnue à l’échelle nationale. Nous leur souhaitons un franc succès pour l’examen de certification du 9 juin 2012.

  Collège des administrateurs de sociétés (CAS)

Les ASC sont regroupés dans la Banque des ASC; un outil de recherche en ligne mis au point par le Collège afin de faciliter le recrutement d’administrateur sur les conseils d’administration.

La certification universitaire en gouvernance de sociétés est unique au Québec et s’adresse aux administrateurs siégeant à un conseil d’administration et disposant d’une expérience pertinente.

Questions-clés que les administrateurs de sociétés se posent sur la gouvernance


Le Conseil sur la surveillance des risques et la gouvernance (CGRG)  de l’Institut canadien des comptables agréés (ICCA) a produit des documents pratiques, pertinents, synthétiques et accessibles sur presque toutes les questions de gouvernance. En fait, l’ICCA a été un pionnier dans l’élaboration de publications répondant aux questions fondamentales que les administrateurs se posent sur l’ensemble des thèmes se rapportant à la gouvernance. Ces documents sont révisés régulièrement afin qu’ils demeurent actuels et pertinents.

Toute formation en gouvernance des sociétés réfère à cette documentation de base. Ainsi, le Collège des administrateurs des sociétés (CAS) et son partenaire canadien, le Directors College (DC), puisent abondamment dans les ressources documentaires de l’ICCA, dont tous les grands cabinets sont membres, tout en étant de précieux collaborateurs des programmes de formation au Canada. Vous trouverez ci-dessous la collection de « 20 questions » à l’intention des administrateurs de sociétés. Si vous avez des questions dans le domaine de la gouvernance, vous y trouverez certainement des réponses satisfaisantes. Je vous encourage donc fortement à consulter ces publications. Vous pouvez les commander ou les télécharger.

Collection à l’intention des administrateurs

Collection «20 Questions»

blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser au sujet de l’indemnisation et de l’assurance à l’égard de la responsabilité des administrateurs et des dirigeants
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la constitution d’un conseil d’administration
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la gestion de crises
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la gouvernance des sociétés d’État
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la relève du chef de la direction
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la rémunération des dirigeants, 2e édition
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la rémunération du conseil
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la stratégie
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur la vérification interne
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur le rapport de gestion
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur le rôle du comité sur les ressources humaines et la rémunération
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les codes d’éthique (Deuxième édition)
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les comités de gouvernance
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les comités spéciaux
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les évaluations de la gouvernance
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les mesures à prendre en cas d’allégations d’actes répréhensibles visant la société
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur les risques
blue bullet 20 Questionsque les administrateurs devraient poser sur les TI
blue bullet 20 Questions que les administrateurs devraient poser sur leur rôle de gouvernance à l’égard des régimes de retraite
blue bullet 20 Questions que les membres des conseils d’administration et des comités de vérification devraient poser sur la conversion aux normes IFRS (Révisé)
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